
polycopie microbiologie alimentaire
polycopie des cours et travaux pratiques de Microbiologie alimentaire

Dr. MELALIH A. Application of Precision Agriculture

Dr GHOMARI Samia: la culture iv
LA MULTIPLICATION CONFORME, (multiplication végétative)
I-la culture In vitro (micropropagatioén)
Toute cellule végétale, quelque soit sa spécialisation du moment, du moment qu’elle est vivante et possède un noyau, elle est capable de reproduire une plante entière. Cette remarquable propriété est appelée totipotence. Il faut souligner le rôle important des phytohormones dans le développement des formes et de la structure.
La multiplication végétative In vitro est un outil extrêmement puissant, qui à partir d’un seul méristème, peut permettre d’obtenir, en une année, de l’ordre de 106 individus clones (identiques à la plante mère). Cela se fait en un espace très restreins. Cette technique permet le retour de la plante à l’état juvénile.
II- le choix de l’explant
La capacité Totipotence cellulaire qui, indique que chaque cellule végétale possède toutes les informations nécessaires à la régénération d’une nouvelle plante. Mais à l’heure actuelle, il n’est pas encore aisé de là révélée aussi facilement. Cela nécessite le choix de l’explant capable de réagir lors de la mise en culture et de réaliser ainsi une multiplication végétative plus ou moins importante.
Cette technique d’obtenir non seulement des plantes conformes à la plante mère, mais aussi des variants génétiques dans certaines conditions.
Toutefois il est important de choisir son explant en fonction des facteurs suivants :
1- stade et l’âge du pie-mère : en générale, on peut admettre que ce sont les plantes jeunes qui fournissent les explants les plus réactifs, les potentialités diminuant avec l’âge.
2- L’époque du prélèvement : cela concerne les espèces vivaces (période active et une autre au ralentie) exp : espèces ligneuses qui se reproduisent facilement in vitro en état de dormance mais s’enracine que dans la période active.
3- L’emplacement sur la plante-mère :
1- les bourgeons, les apex, les méristèmes, ainsi que les capitules floraux (inflorescence constitués de petites fleurs qui sont serrées les une avec les autres) nous parlons de microbouturage dans le cas.
2- Les tissus différenciés, tel que les fragments de tige, de racine, de fleurs, de fruits…. Cela nécessite l’application de la totipotence.
4- la taille de l’explant : pour un milieu de culture sans hormones, l’explant dois être de grand taille, mais ce n’est pas le cas pour le milieu avec les phytohormones.
I- le choix du milieu de culture
C’est l’élément déterminant de la réussite de la multiplication. Le milieu de base peut être : MS (Murascige et Scookg), Gamborg, Momier, White, Nictch…
le milieu de culture est composé généralement d’élément minéraux (macroéléments et microéléments), des sucres, vitamines, et des adjuvants organiques (lait de noix de coco), les acides aminés, de l’eau, et de la gélose (agent gélifiant comme Agar-Agar).
La concentration de ces composés varie d’une espèce à une autre.
Il est important de respecter la procédure de fabrication du milieu de culture. il faut mettre en 1er dans un peut d’eau distillée : les marcos suivis des micros, du fer (en cas de sa présence), du sucre, ajuster le volume avec l’eau distillée, le pH (5,6 à 5,8 avec NaOh ou KCl). Par la suite, l’Agar, chauffer à l’ébullition. Enfin additionner les vitamines et les hormones. Répartir ce milieu dans les bocaux ou les tubes à essais et stériliser à l’autoclave à 120°C pd 20 mn.
IV- Réalisation D’une Culture
La réalisation d’une à partir des tissus de tige stérilement (sous hotte à flux laminaire)
1- stérilisation des fragments (bains dans l’alcool à 70° de quelque secondes, suivie d’un autre bain dans javel à 2% pendant 10 mn, et 5 rinçages à l’eau distillée stérile.)
2- sectionner les explants au niveau des entre-nœuds
3- ensemencer chaque explant dans un tube à essais ayant le milieu de culture stérile. Il faut respecter la polarité des explants. Et mettre en culture en respectant la température et la photopériode.
4- On fait un repiquage tous les mois ou tous les 2 mois. Les parties nécrosées doivent être éliminée.

paillage et couches chaudes
Le paillage
Le paillage est l’une des solutions alternatives au
désherbage chimique. Il consiste à couvrir le sol afin d’éviter la poussé des
herbes indésirables. Par ailleurs, il préserve le sol des agressions
climatiques, et favorise la vie du sol
Comment réaliser un paillage: avant la période de la mise en
culture: -
meubler le sol, le
désherber et le niveler ;
Évite le dessèchement du sol en été et sa gelé en hivers; Limite l’arrosage : un bon paillage vaut deux arrosages. C’est en plus une fumure qui apporte de l’engrais aux plantes,
protège les microorganismes, les vers de terre et autres insectes utiles. La mise en place d’un paillage organique se fait de préférence sur un sol humide avec une épaisseur d’au
minimum 8 cm (avec apports complémentaires réguliers). Modèles de paillis -
Du commerce : toile
biodégradable -
Le film plastique, les
galets, -
pouzzolane (roche
volcanique), -
billes d’argiles, l’ardoise
concassé, -
gravier blanc. D’origines naturelles: -
déchets organiques :
copeaux de bois ( l‘écorce
de pin mais elle a tendance à acidifier le sol), tontes de gazon
séchées, feuilles mortes, foin, paille, papier journal
déchiqueté, carton, déchets de laine, …
LES COUCHES CHAUDES La couche chaude est une couche de matière organique qui se
décompose et fermente. Celle-ci est utilisée afin de maintenir une température
supérieure à la température environnante pour favoriser la germination et la
croissance de semis.

Dr. MELALIH A. COURS MALHERBOLOGIE
La malherbologie (ou science des mauvaises herbes) a pour objet la connaissance des mauvaises herbes, en particulier en agriculture. Généralement, elle a pour principaux objectifs :
(1) préciser les effets de ces plantes, donc en particulier sur la production agricole ou alimentaire (traditionnellement la nuisibilité sous ses différents types, ex. toxicité ; récemment en plus sont parfois inclus des effets positifs éventuels),
(2) (en conséquence) les moyens de les gérer (traditionnellement les moyens de lutte -avec les cibles de chacun-, plus récemment leur régulation) pour limiter les nuisibilités

Dr ABDELMALEK Génétique microbienne L3 Microbiologie
La Génétique Microbienne et Génomique : Bactérie et Virus
Plan du cours :
. Echange génétique et apparition de résistance aux antibiotiques
_ Gène de résistance : Les Transposons
. Les Génomes Viraux
. Virus à ADN - Virus à ARN
. La polarité des génomes virus à ARN
. ARN viral(+) & ARN viral (-)
. Variabilité génétique des virus
. Exemple de virus hautement variable : Le VIH
. Notion de quasi-espèces
. Divergence des souches de VIH
. Les variation Antigéniques des virus Influenza Humains
. Épidémiologie de la Grippe.
La Génétique Microbienne et Génomique : Bactérie et Virus
Plan du cours :
. Echange génétique et apparition de résistance aux antibiotiques
_ Gène de résistance : Les Transposons
. Les Génomes Viraux
. Virus à ADN - Virus à ARN
. La polarité des génomes virus à ARN
. ARN viral(+) & ARN viral (-)
. Variabilité génétique des virus
. Exemple de virus hautement variable : Le VIH
. Notion de quasi-espèces
. Divergence des souches de VIH
. Les variation Antigéniques des virus Influenza Humains
. Épidémiologie de la Grippe

Dr. MELALIH A. Cours Cultures pérennes 1
L'arboriculture, ou la culture des arbres fruitiers, témoigne d'un attachement à long terme à un territoire et participe de son organisation. Elle remonte au Néolithique, et c'est durant la Grèce et la Rome antiques que les techniques de culture resteront inégalées pendant des siècles. Ce n’est qu’au 19e siècle qu’un véritable engouement pour la pratique se manifeste avec la création de vergers conservatoires et d’inventaires nationaux de variétés cultivées.

Dr.CHAMA.Zouaouia.L3.Microbiologie.Biologie Moléculaire et Génie Génétique.Cour: Détection, Caractérisation et Identification des acides nucléiques (Partie2).
Détection, Caractérisation et Identification des acides nucléiques (Partie2).

Analyse et protection de l'environnement
Le module analyse et protection de l’environnement s’intéresse principalement sur les différentes analyses à réaliser pour protéger l’environnement, en effet la première partie est consacrées à des généralités sur l’écologie ( notions d’écosystèmes) et l’environnement, la deuxième parties port principalement sur les matrices environnementales à analyser pour contrôler et préserver l’environnement notamment ; l’eau, le sol , l’atmosphère, le composte et la boue, la troisièmes parties porte sur l’étude des différentes échantillons biologiques utilisés pour contrôler la qualité de l’environnement, comme l’utilisation des bio-indicateurs végétales et animales, enfin la dernière partie est consacrée à l’étude des lois et des décrets en matières de protection de l’environnement.

Communication scientifique BENALIA A (Master I BPR)
La
communication scientifique est un moyen que l'on utilise pour diffuser, transmettre ou
échanger un savoir scientifique avec un public de spécialistes de néophytes ou
encore plus, un public ordinaire. L’objectif d’une
communication scientifique est alors une difussion et un partage d'un savoir scientifique suivant une stratégie particuliière permettant un échange structuré de la science. Dans le présent cours, nous allons voir l'ensemble des techniques qui facilitent la transmission et la réception éfficace du savoir scientifique. La prise de note méthodologique, l'organisation de la communication scientifique orale (support et discours) et les principes de la rédaction scientifique y sont adorbés.